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| Exposition "Art Sacré" du 1er au 30 septembre 2012 Galerie Municipale Les Bains Douches – Antibes |
- Emmanuelle Ordener,
- Luc Pradel,
- Jean-charles Stora
Vernissage le 13 septembre 2012 - 18h30 en présence des artistes
est née le 18 juillet 1972 à Metz en Lorraine.
Attirée par le dessin et la peinture depuis l’enfance, elle suit des cours de dessin en Ateliers à l’âge de 8 ans.
Formée pendant 4 ans à plusieurs techniques d’art traditionnel (icônes, fresques, temperas italiennes, vitrail) en 1993 dans un Institut de Philosophie et d’art Sacré (69) elle se spécialise dans la technique de l’iconographie grecque.
Elle se forme pendant 7 ans auprès des professeurs :
- Crissi Tsiouri sur l’île de Patmos en Grêce, stage d’icônes ;
- Federico Bellomi à Vérone en Italie, stages de fresques ;
- Bernard Delaval à Chapaize (71) stage de dorure.
- Egon Sendler (Père Igor) à Meudon (92) et Publier (74), stages de dessin et fresques ;
Emmanuelle s’installe à Antibes Juan les Pins en 2007.
STORA Jean Charles
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Biographie artistique
Jean-Charles STORA est né le 28 Décembre 1955 à Alger, vit et travaille à Castagniers
Autodidacte, l’activité artistique s’est imposée à lui, au début comme un besoin, une sorte d’évasion s’articulant à sa vie comme « oxygène » ; aujourd’hui, son activité artistique est devenue essentielle, vitale.
Après avoir dessiné et peint, c'est avec la sculpture, avec l'acier qu'il exprime le plus précisément, par des compositions de couleurs et de formes épurées, certaines notions d’équilibre de temps et de l'espace.
Préoccupations et pratiques artistiques
En associant l'acier à d'autres matériaux, il se dégage d'étranges émotions.
Mon travail tente d’explorer ces émotions sous diverses formes en recherchant les points d'équilibre entre différentes matières, comme l'acier, la pierre, le verre, le bois et la couleur ,mais aussi l’équilibre entre le fort et le faible, le fragile et le robuste, le mini et le monumental.
Par ces formes épurées, on va à l’essentiel ; cette voix s’oppose à celles, quelquefois trop pesantes, trop envahissantes, trop prenantes, qui nous éloignent des affects et ne nous contraignent qu’à celle de l’intellect.
Chaque pièce par sa forme , sa couleur, son esthétique attire l’oeil du regardeur ; sa représentation l’interroge.
Formes épurées qui s'assemblent pour un certain temps dans un espace unique. C'est dans cet espace, espace où nous nous rencontrons qu’un partage est possible et que des liens se tissent.
Techniques utilisées
soudure à l’arc et à l’argon ou brasure, travail de composition ; l’acier brut est cintré, coupé, poncé, poli ou brossé, peint ou vernis; il reçoit des pierres taillées, des éclats de marbre, du cuir naturel peint, des racines et des noeuds de bois.
De la spontanéité nait l'émotion, de ces formes épurées, un espace se crée.
L'acier suspendu cherche son équilibre et révèle une dimension du temps, temps de la création où la précipitation est exclue.
Plié, soudé, assemblé, l'acier se mêle, s'entremêle à d'autres matières et livre ainsi d'innombrables trajectoires en redéfinissant sans cesse l'espace et l'instant de l'émotion.
Luc Pradel
Luc Pradel est né en 1965. Il passe son enfance dans les Haut de Seine à Rueil Malmaison.
Très tôt, il est initié à la peinture et au dessin par son Père, Pierre Pradel, Artiste-Dinandier, dessinateur et designer.
En parallèle, il poursuit des études de Flûte à bec au Conservatoire National de Région de Musique de Rueil Malmaison et obtiendra quelques années plus tard plusieurs prix de pratiques instrumentales, de
musique de chambre au CNR d’Aubervilliers la Courneuve.
A l’issue de ces études musicales, il crée un orchestre d’une quarantaine de musiciens appelé « Orchestre Jupiter ». De fait, Il abandonne le répertoire baroque et la flûte à bec pour se consacrer à
l’Organisation de concerts symphoniques.
Il est remarqué par l’Orchestre de Paris qui l’engage en 1990 en qualité de Régisseur du Personnel Artistique, puis dix ans après, il déménage dans les Alpes Maritimes en région Paca, à Cannes, ou il est
recruté comme Régisseur Général de L’Orchestre Régional de Cannes.
En parallèle de son activité musicale, Luc Pradel, n’a jamais cessé de peindre et de chercher un mode d’expression à sa mesure. Ses recherches se nourrissent naturellement de toutes ses connaissances
musicales et des centaines de rencontres qu’il fait avec les artistes musiciens.
Pierre Boulez est le premier à découvrir son travail d’artiste peintre et à l’encourager à poursuivre. Gabriel Richard, Violoniste du quatuor Thymos est le premier à faire l’acquisition d’une toile suivi bientôt de plusieurs artistes-musiciens amoureux des arts.
Ce n’est pourtant qu’en 2007, qu’il trouve enfin la technique et le style qui lui permette de s’exprimer et de s’épanouir pleinement. Baptisée « le perlisme » par Aurore Busser journaliste à Nice Matin, cette technique consiste à déposer des gouttes de peintures acryliques qui en séchant ressemble à des perles.
On y trouve certaine caractéristique de l’art Aborigène, des formes géométriques à la Victor Vazareli, Des couleurs vives propres aux artistes vivant sous la lumière du sud de la France tel que Pierre Bonnard ou Chagall. On y ressent l’influence décorative de Gustav Klimt et le goût du détail à la Robert Combas. On y retrouve également le principe de pixellisation de l’image numérique ce qui contribue probablement à la
capture du regard.
Du fait de sa culture musicale, Luc Pradel perçoit et traite le point perlé comme une information musicale sur une portée d’où une relation à la couleur plus proche d’un compositeur de musique que d’un artiste peintre.
Mais ce qui constitue un élément nouveau dans l’histoire de la peinture c’est le principe du point en relief qui va de part ses propriétés géométriques diffracter la lumière et provoquer une déclinaison en plusieurs nuances d’une même couleur.
En 2010, il fait sa première exposition à Eze Village pour observer l’impact de sa peinture sur le public. Le résultat est immédiat.
Enthousiasme, Perplexité, stupéfaction, éloge. Il repart avec le premier Prix de l’Académie des Arts à Eze Village. Quelques mois plus tard il réitère la même opération à Gilette puis au Rouret, ou il obtient de nouveau le premier prix. Il est alors invité à exposer son travail dans le cadre de « C’est pas Classique » à l’Acropolis de Nice. Cette première et réelle exposition a un succès considérable. Nice Matin titre « la peinture de Luc Pradel entrera t-elle dans l’histoire de l’Art ».
Suite à cela, le marchand d’art et restaurateur de tableaux, Marc Faggioli, le fait exposer au salon des antiquaires de saint Jean Cap Ferras et
à Fréjus. Une de ses toiles est sélectionnée pour participer à une prestigieuse vente aux enchères ayant lieu sur Cannes, intitulés «les grandes collections du sud de la France »…son tableau côtoient Picasso, César, Mathieux
La Galerie Signature à Cannes décide de collaborer avec lui. Elle lui propose, entre autre, de préparer le salon de la FIAC 2013. Elle expose son travail en permanence rue des Etats-Unis entre le boulevard de la Croisette et la rue d’Antibes.
En novembre 2011, il est invité à exposer à l’hôtel de Mougins. L’originalité de son travail est de nouveau soulignée par Nice Matin qui écrit que la facture des ses peintures pourrait prétendre au lancement d’un nouveau mouvement. Malgré le nombre croissant d’invitations qui lui parvienne, Luc Pradel continue avant tout de travailler. Exigeant, il n’a en définitive pas d’autre ambition que de faire évoluer sa technique et d’essayer d’en tirer la quintessence expressive. Les sujets traités ne sont que des prétextes lui permettant d’explorer et de multiplier des milliers de combinaisons pigmentaires. Il joue avec le regard et la perception rétinienne du
spectateur.
Au-delà des gouts et des couleurs de chacun, c’est une peinture qui capture le regard et se passe d’explication. D’elle, Bruno Rigutto dit : « elle est évidente !! »
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Galerie Municipale Les Bains Douches – Boulevard D'aguillon - 06600 ANTIBES - Tél : 0493347430
Ouvert du Mardi au Samedi de 10h à 18h.
Fermé dimanche, lundi et jours fériés.
